Le meurtrier violeur de 3 jeunes filles à Settat a été condamné hier soir à la peine capitale. La première condamnation de ce type au Maroc en 2009 et qui est rarement appliquée depuis l'affaire du commissaire Tabit.
Ce criminel a déjà été incarcéré pour viol. Ce qui repose le dilemme des crimes sexuelles et du fichage de ces criminels.
L'usage d'un répertoire national de l'ADN des criminels sexuels devient une nécessité, ainsi qu'un moyen de surveillance juridique après leur sortie de prison. D'ici là, la peine capitale ou sa forme de facto (l'incarcération à vie) trouve sa place dans un crime aussi odieux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Recevez tous les commentaires sur ce sujet : Cliquez, en bas de ce tableau, sur S'abonner par e-mail.